terça-feira, 29 de novembro de 2016

Pâturage à l'ère du réchauffement climatique

Il n’est pas rare de voir des ordures de ménage et autres types déchets déversés dans nos quartiers au bord des routes. Un constat triste auquel plusieurs répondent: « que peut-on faire, la municipalité ne fait rien pour la population ». La mairie et les autorités non plus ne savent reconnaître leur part de responsabilité à ce non respect des espaces publiques.
Entre temps, les mouches, les cafards prolifèrent dans nos «maquis» (restaurants populaires) et nos maisons, et comme conséquence, l’avancée des maladies liées au manque d’hygiène.
Au lieu d’herbe verte, c’est la pourriture que nos chèvres, nos moutons et vaches broutent, imaginons alors la qualité de viande et de lait qui sera portée à notre table.
Pendant que Je préparais cette page, au Maroc, du 14 au 15 novembre 2016, se tenait la COP22, où se discutait de la diminution d'émission des gaz dans l'atmosphère de la part de grands pollueurs.
Chacun de nous a sa part de responsabilité dans les drames climatiques que nous vivons: les saisons qui ne sont plus reconnaissables, les inondations, tsunami…
Un adage dit: "Dieu pardonne toujours, l'homme pardonne parfois, la nature ne pardonne jamais". Donc quand nous faisons du mal à la nature, sachons-le, elle ne pardonne jamais.
À bon entendeur!